Le groupe Moncler a connu une croissance à deux chiffres à taux de change constants au premier trimestre 2024. Mais si sa marque éponyme de doudounes de luxe a été porteuse, Stone Island, son deuxième label de skiwear, a reculé.
Small est-il de nouveau beautiful dans l’univers du luxe ?
Décidément, les Maisons de taille moyenne se montrent plus performantes que les géants du luxe (à l’exception notable d’Hermès) en ce début d’année 2024.
Après notamment ses compatriotes Zegna, Brunello Cucinelli et Prada, c’est au tour du groupe Moncler, le spécialiste italien du skiwear de luxe, d’afficher de bien belles couleurs au premier trimestre de cette année.
Moncler, le propriétaire de la marque éponyme spécialiste des doudounes de luxe, mais aussi du label Stone Island, vient ainsi d’annoncer des revenus consolidés en hausse de 16% à taux de change constants à 818 millions d’euros. Le groupe italien dans les mains d’investisseurs institutionnels transalpins depuis 2019, a ainsi surpris agréablement le consensus des analystes qui prévoyait plutôt une croissance de +11%.
Moncler qui rit, Stone Island qui pleure
Cette performance a été portée par les ventes de la marque Moncler, en croissance de +20% à 705 millions d’euros alors que le consensus misait sur une hausse de +15%.
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Photos à la Une : © Moncler
