La sixième édition de l’événement 1.618 met en scène le meilleur de l’Art de Vivre haut de gamme et responsable. Le Salon, qui se tiendra du 2 au 4 juin au Carré du Temple à Paris, cherche à sensibiliser par le levier de l’art et de la science. Il prévoit aussi un programme de conférences pour présenter des alternatives de consommation et de production.
À l’occasion de la journée mondiale de l’environnement, la sixième édition de la Biennale 1.618 s’installe à nouveau à Paris, du 2 au 4 juin au Carreau du Temple.
Depuis 2009, le Salon sélectionne et révèle les entreprises créatives et engagées les plus inspirantes dans tous les domaines de l’Art de Vivre. Le chiffre 1.618 est une proportion mathématique, issue de l’observation de la nature. Également appelé nombre d’or, ce chiffre est utilisé en musique, art, architecture ainsi qu’en économie et explique l’harmonie universelle.
« Pour accélérer la transition vers de nouveaux modes de production ou de consommation, 1.618 Paris sélectionne des alternatives qui apportent des réponses concrètes et désirables aux enjeux prioritaires de leur secteur », indique le site de l’évènement.
Pour réduire son impact environnemental, 1.618 Paris précise avoir recours à l’écoconception et réalise son bilan carbone. De nombreux exposants seront au rendez-vous, avec notamment A-bsolument, une société de restauration de radios vintage, la maison de joaillerie JEM, Precious woods, leader mondial en matière de gestion durable des forêts, ou encore la marque de soins et produits de bien-être La Chênaie.
« Validés par un comité d’experts indépendants, ces marques, matériaux et services se distinguent par leur engagement, leur innovation et leur créativité », est-il précisé.
L’enjeu de la durabilité
En s’appuyant sur les 17 Objectifs de Développement Durable (ODD) fixés par les Nations Unies à horizon 2030, la Biennale 1.618 a vocation à sensibiliser les visiteurs aux enjeux prioritaires de la mode, du design, de la joaillerie, de la beauté, de la mobilité, de la gastronomie et des voyages.
Le Salon abordera la question : « Peut-on mener une vie agréable sans que cela coûte à la planète ? ». Afin d’y répondre, il s’appuiera sur les datas du Happy Planet Index (HPI). Initié par Nic Marks et aujourd’hui développé par le Hot or Cool Institute, l’HPI est calculé à partir de trois indicateurs : l’empreinte écologique, l’espérance de vie et le bien-être.
Art contemporain et forêt Amazonienne
Le salon proposera au public l’exposition « Origines – Regards d’artistes sur les forêts primaires ». Cette dernière réunit une douzaine d’artistes internationaux, sélectionnés par Lauranne Germond, fondatrice de l’association Culture et Diversité COAL.
Les recherches plastiques des artistes « prennent racine dans une profonde fascination pour la richesse de ces forêts des origines, espaces primordiaux à la vitalité luxuriante. À travers la diversité des médiums et des approches, ces créations dévoilent un désir de réconciliation », indique encore le site. « La forêt s’y révèle dans toute sa liberté d’expression comme la condition d’existence de notre humanité et de sa possible survivance. »
L’évènement, avec le partenariat de l’ONG Conservation International, présentera également une plongée au cœur de la forêt Amazonienne en réalité virtuelle, intitulée « Under the Canopy ».
« Berceau de la biodiversité, source de l’oxygène que nous respirons grâce aux arbres colossaux qui puisent le carbone sans relâche, ce maillon essentiel de l’équilibre planétaire constitue une des plus importantes solutions fondées sur la nature pour lutter contre le changement climatique », indique le site de l’évènement.
Le Comité Colbert partenaire
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Photo à la Une : © 1.618 Paris