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Derrière le marché de l’Horlogerie de luxe, se cache celui de ses répliques. Selon le revendeur d’occasion Watchfinder (Richemont), les copies de Rolex représenteraient environ la moitié des contrefaçons sur le marché.
« Rolex est la marque de montres de luxe la plus ambitieuse et la plus demandée, c’est donc la plus reproduite » a affirmé Arjen van de Vall, le pdg de Watchfinder & co.
Aujourd’hui, le marché de la contrefaçon prend de plus en plus d’ampleur, à tel point qu’il est parfois difficile de déceler le vrai du faux. Le revendeur d’occasion Watchfinder, qui appartient à la société suisse Richemont, était capable de repérer 80 % des fausses montres. Dorénavant, le PDG déclare que seulement 20 % peuvent être identifiés comme étant des contrefaçons, les modèles devenant de plus en plus ressemblants.
Pour lutter contre le phénomène, les employés sont dans l’obligation d’effectuer un processus d’authentification plus approfondi, notamment en observant le fond des montres et en vérifiant les mouvements.
Mais si Rolex figure en haut de la liste, ce n’est pas la seule marque de montres de luxe à être imitée. On trouve désormais des répliques de toutes les plus grandes Maisons horlogères, de Patek Philippe à Audemars Piguet en passant par Tag Heuer
Un problème qui persiste
Sur le marché secondaire, ou marché de la revente, qui représente 25 milliards de dollars par an, les répliques de garde-temps de luxe sont un véritable problème.
En sachant que le monde de l’occasion souffre déjà. Durant la pandémie, l’industrie horlogère d’occasion a connu un vrai boom, qui a cédé la place l’an dernier à un recul de 19 %. Les riches acheteurs étant devenus plus raisonnables, et donc, moins dépensiers.
Pour lutter contre la contrefaçon, et innover en termes d’image de marque, Rolex a lancé l’année dernière un programme de vente de montres d’occasions, qui authentifie les garde-temps vendus par les revendeurs agréés. Après cette étape, les vendeurs reçoivent un certificat d’authenticité, une carte de garantie de deux ans, ainsi qu’une étiquette « sceau de cire ».
Reste à savoir si cette nouvelle stratégie permettra de réduire le marché de la contrefaçon, et quelles seront les mesures mises en place par ses concurrents pour stopper ces ventes illégales et frauduleuses.
Lire aussi >Rolex se lance dans l’occasion
Photo à la Une : ©Presse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role= »not-logged-in »][vc_column][vc_column_text]
Derrière le marché de l’Horlogerie de luxe, se cache celui de ses répliques. Selon le revendeur d’occasion Watchfinder (Richemont), les copies de Rolex représenteraient environ la moitié des contrefaçons sur le marché.
« Rolex est la marque de montres de luxe la plus ambitieuse et la plus demandée, c’est donc la plus reproduite » a affirmé Arjen van de Vall, le pdg de Watchfinder & co.
Aujourd’hui, le marché de la contrefaçon prend de plus en plus d’ampleur, à tel point qu’il est parfois difficile de déceler le vrai du faux. Le revendeur d’occasion Watchfinder, qui appartient à la société suisse Richemont, était capable de repérer 80 % des fausses montres. Dorénavant, le PDG déclare que seulement 20 % peuvent être identifiés comme étant des contrefaçons, les modèles devenant de plus en plus ressemblants.
Pour lutter contre le phénomène, les employés sont dans l’obligation d’effectuer un processus d’authentification plus approfondi, notamment en observant le fond des montres et en vérifiant les mouvements.
Mais si Rolex figure en haut de la liste, ce n’est pas la seule marque de montres de luxe à être imitée. On trouve désormais des répliques de toutes les plus grandes Maisons horlogères, de Patek Philippe à Audemars Piguet en passant par Tag Heuer.
Un problème qui persiste
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Derrière le marché de l’Horlogerie de luxe, se cache celui de ses répliques. Selon le revendeur d’occasion Watchfinder (Richemont), les copies de Rolex représenteraient environ la moitié des contrefaçons sur le marché.
« Rolex est la marque de montres de luxe la plus ambitieuse et la plus demandée, c’est donc la plus reproduite » a affirmé Arjen van de Vall, le pdg de Watchfinder & co.
Aujourd’hui, le marché de la contrefaçon prend de plus en plus d’ampleur, à tel point qu’il est parfois difficile de déceler le vrai du faux. Le revendeur d’occasion Watchfinder, qui appartient à la société suisse Richemont, était capable de repérer 80 % des fausses montres. Dorénavant, le PDG déclare que seulement 20 % peuvent être identifiés comme étant des contrefaçons, les modèles devenant de plus en plus ressemblants.
Pour lutter contre le phénomène, les employés sont dans l’obligation d’effectuer un processus d’authentification plus approfondi, notamment en observant le fond des montres et en vérifiant les mouvements.
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