Paris : L’inclusivité s’invite au Salon du dessin 


S’il est relativement discret et constant en termes de prix, le marché du dessin reflète aussi les tendances sociétales. L’inclusivité, chère à notre époque, influence ainsi le Salon du dessin, qui se tient jusqu’au 27 mars à Paris.
Alors que la 31e édition du Salon du dessin se déroule actuellement et ce, jusqu’au 27 mars au Palais Brongniart à Paris, les observateurs du secteur ne manquent pas de repérer des œuvres qui prennent davantage la lumière.
Certes, sur le plan des prix, les dessins, encore plutôt confidentiels sur le marché de l’art, font preuve d’une certaine constance.
Mais du côté des œuvres côtées, les lignes semblent, elles, davantage bouger dans le dessin en particulier. Comme sur le marché de l’art de façon générale, une volonté d’inclusivité se fait ainsi sentir.
Les talents des femmes, personnes noires et celles des autodidactes semblent ainsi davantage se tailler une place de choix parmi les dessins d’art ancien, moderne et contemporain, présentés par la quarantaine d’exposants du Salon du dessin, triés sur le volet. Malgré leurs origines diverses, de Bruxelles à New York en passant par Florence, Londres et Madrid, bon nombre de ces galeristes affichent ainsi des tropismes communs.
La femme monte en puissance
A la faveur d’une médiatisation croissante, plusieurs femmes artistes ont ainsi été remarquées.
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Photo à la Une : Salon Du Dessin ©WOYTEK-KONARZEWSK
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Après plus 20 ans au Journal du Textile, dont elle a notamment assuré la rédaction en chef adjointe, diplômée d’un Master en marketing de luxe de l’ISML, Sophie Bouhier de l’Ecluse est une spécialiste de la filière mode, textile et luxe.