Boucheron vient de célébrer l’anniversaire de sa bague Quatre, une icône joaillière créée en 2004 devenue ligne à part entière de la Maison. A cette occasion, le premier joaillier de la place Vendôme a ouvert depuis le 27 février un pop up store à Paris en pleine Fashion Week en attendant d’autres festivités en Asie cet été.
On n’a pas tous les jours 20 ans !
Si la chanson a pris quelques rides, la collection Quatre est toujours au faîte de sa désirabilité. Cette ligne joaillière lancée par Boucheron en 2004 avec une bague aux quatre anneaux imbriqués brille par sa modernité et son caractère pionnier.
Unicité et intemporalité
Symbole de force et de protection, Quatre proposait déjà à l’époque une bague au design urbain et non genré. “On ne peut pas créer une icône, celle-ci se forge à travers le temps, elle s’impose car elle résonne avec la société : une icône n’est pas conçue pour en être une, ce sont les clients qui le décident”, rappelle Hélène Poulit-Duquesne, la Pdg de Boucheron.
Mais Quatre, ce sont aussi des rencontres insolites : celles des trois ors mélés (blanc, jaune et rose) et d’une matière synthétique couleur chocolat (PVD). Quatre a également été décliné en une Black Edition, où l’or blanc se marie parfaitement avec un PVD au noir intense, design encore plus aligné avec les goûts de la génération Z, férue de matière argentée, de minimalisme et de superpositions. Depuis la bague a connu de multiples déclinaisons.
Au-delà du jeu de matières, les différents motifs déclinés par la bague, véritables abécédaires visuels de l’histoire de Paris, frappent le regard et les mémoires. Le Grosgrain, du nom d’un tissu de soie nervuré, rappelle le métier de marchand drapier du père de Frédéric Boucheron, procurant le confort d’une étoffe. Le serti miroir met en valeur le savoir-faire exceptionnel de la Maison et symbolise l’éternité. Le Clou de Paris à l’aspect crénelé, thème récurrent des archives de Boucheron, renvoie aux pavés de la Place Vendôme. Enfin, le double godron est apparu dans les archives de la Maison vers 1860. Ce motif architectural, qui représente deux anneaux fondus en un seul, figure une allégorie de l’amour éternel.
Quatre anneaux et du disco
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Photo à la Une : © Boucheron
