Le dernier rapport annuel réalisé par Morgan Stanley avec LuxeConsult sur les acteurs de l’Horlogerie Helvète permet de dégager une évolution à deux vitesses. Si l’ultra luxe progresse, l’entrée et le moyen de gamme souffrent.
L’année 2024 n’a pas été florissante pour les exportations horlogères suisses.
Selon la Fédération horlogère suisse, les exportations de garde-temps helvétiques ont en effet reculé de 2,8% à 25,9 milliards de francs (28,5 milliards de dollars) l’an dernier. En volume, le retrait a été plus prononcé encore, à – 9,4% à 15,3 millions de pièces, soit 1,6 million d’unités de moins qu’en 2023.
Mais dans leur tout dernier rapport annuel sur l’industrie horlogère suisse pour 2024. publié en février 2025, Morgan Stanley et LuxeConsult ont voulu aller au-delà des chiffres et de ce constat d’ensemble peu réjouissant.
Evolution à deux vitesses
Ils ont d’ores et déjà mis en lumière une évolution à deux vitesses, celle des acteurs du haut de gamme-luxe d’une part, et celle des acteurs de l’entrée-moyen de gamme d’autre part.
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