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Depuis la fin de la pandémie, le secteur de l’horlogerie est en pleine expansion. Les demandes affluent et les besoins grandissent. D’ici 2026, cela entraînera une augmentation du besoin de main d’œuvre.
D’ici 2026, près de 4 000 personnes devront être formées ou recrutées dans le secteur de l’horlogerie. C’est un défi de taille pour la branche.
L’horlogerie attire de plus en plus de clients malgré l’inflation. Après la crise sanitaire, celle qui avait perdu une partie de sa clientèle à cause des frontières fermées, se relève. Sa situation économique est plutôt convenable et les besoins de production et de main d’oeuvre s’accélèrent.
Selon une étude de la convention patronale de l’industrie de l’horlogerie suisse, l’augmentation des besoins en effectifs prévue pour 2026 est largement supérieure à celle enregistrée au cours de la précédente étude, 10 ans auparavant. Cela représente 1 466 nouveaux postes ainsi que le remplacement de plus de 2 300 départs à la retraite.
Pour répondre à ces besoins, le défi est d’attirer suffisamment de jeunes. A cette fin, le secteur tente de mettre en place des dispositifs comme la promotion des métiers et de la formation. Différents projets émergent ces dernières années pour démontrer à la fois la diversité et l’attractivité du secteur. Par exemple, de plus en plus de Salons spécialisés voient le jour et attirent amateurs et collectionneurs en tout genre. Des marques font aussi la promotion de leurs nouveaux modèles en mettant en avant le savoir-faire avec la mise en scène de vidéos publicitaires et promotionnelles.
Avec les résultats de cette enquête, la convention patronale estime pouvoir mettre en place les nouvelles mesures nécessaires pour assurer l’adéquation entre offre et demande.
Lors de précédentes enquêtes, les experts prédisaient la disparition prochaine de certains métiers au profit de l’automatisation des opérations. Mais aujourd’hui, le constat est différent : de nouvelles compétences sont venues enrichir la formation initiale.
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Photo à la Une : © Presse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role= »not-logged-in »][vc_column][vc_column_text]
Depuis la fin de la pandémie, le secteur de l’horlogerie est en pleine expansion. Les demandes affluent et les besoins grandissent. D’ici 2026, cela entraînera une augmentation du besoin de main d’œuvre.
D’ici 2026, près de 4 000 personnes devront être formées ou recrutées dans le secteur de l’horlogerie. C’est un défi de taille pour la branche.
L’horlogerie attire de plus en plus de clients malgré l’inflation. Après la crise sanitaire, celle qui avait perdu une partie de sa clientèle à cause des frontières fermées, se relève. Sa situation économique est plutôt convenable et les besoins de production et de main d’oeuvre s’accélèrent.
Selon une étude de la convention patronale de l’industrie de l’horlogerie suisse, l’augmentation des besoins en effectifs prévue pour 2026 est largement supérieure à celle enregistrée au cours de la précédente étude, 10 ans auparavant. Cela représente 1 466 nouveaux postes ainsi que le remplacement de plus de 2 300 départs à la retraite.
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Depuis la fin de la pandémie, le secteur de l’horlogerie est en pleine expansion. Les demandes affluent et les besoins grandissent. D’ici 2026, cela entraînera une augmentation du besoin de main d’œuvre.
D’ici 2026, près de 4 000 personnes devront être formées ou recrutées dans le secteur de l’horlogerie. C’est un défi de taille pour la branche.
L’horlogerie attire de plus en plus de clients malgré l’inflation. Après la crise sanitaire, celle qui avait perdu une partie de sa clientèle à cause des frontières fermées, se relève. Sa situation économique est plutôt convenable et les besoins de production et de main d’oeuvre s’accélèrent.
Selon une étude de la convention patronale de l’industrie de l’horlogerie suisse, l’augmentation des besoins en effectifs prévue pour 2026 est largement supérieure à celle enregistrée au cours de la précédente étude, 10 ans auparavant. Cela représente 1 466 nouveaux postes ainsi que le remplacement de plus de 2 300 départs à la retraite.
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