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Jack Ma, le fondateur de la plateforme Alibaba, ne risque pas de passer de bonnes fêtes de fin d’année. Le 24 décembre 2020, les autorités chinoises ont lancé une investigation contre le géant du e-commerce pour « suspicion de pratiques monopolistiques ». Cette annonce a provoqué une baisse de 8% des titres Alibaba à la Bourse de Hong-Kong.
Cette enquête, menée par l’Administration d’État pour la régulation des marchés, a fait réagir les analystes du marché. « Il y a manifestement une escalade des efforts coordonnés visant à entraver l’empire de Jack Ma, qui symbolisait les nouvelles entités chinoises trop grosses pour faire faillite » observait ainsi Dong Ximiao, spécialiste de l’Institut de la finance de Zhongguancun, le pendant de la Silicon Valley en Chine.
En effet, les pouvoirs publics semblent mettre un point d’honneur à contrôler les activités du groupe qui a écopé la semaine dernière d’une amende de 500 000 yuans – soit 62 000 euros – pour ne pas avoir fait état d’une acquisition. Si les autorités n’ont cette fois pas précisé le motif de l’investigation, hormis un mystérieux « accord d’exclusivité », Alibaba a « promis de coopérer activement à l’enquête avec les régulateurs. »
Outre l’investigation contre la maison-mère, les régulateurs ont annoncé avoir contacté Ant Group, société sœur d’Alibaba dont Jack Ma est le principal actionnaire, pour des questions de « supervision ». Tout comme Alibaba, la filiale a fait savoir dans un communiqué qu’elle allait « rapidement étudier les demandes des autorités de régulation et s’y conformer strictement ».
En novembre dernier, les autorités chinoises avaient déjà suspendu l’IPO d’Ant Group. L’introduction en Bourse de la société s’annonçait pourtant comme un record du monde, avec un butin de 34,4 milliards de dollars.
Ces sanctions répétées ont provoqué la stupeur et suscité de nombreux commentaires. « Le message politique subliminal, c’est qu’aucune entreprise ni individu n’a le droit de défier le Parti communiste quelle que soit sa taille » précisait pour l’AFP Richard McGregor, journaliste de l’Institut Lowy de Sydney.
Le gouvernement chinois s’inquiète effectivement de l’incursion des groupes technologiques dans le secteur des prêts en ligne, où ils s’affranchissent de certaines règles prudentielles imposées aux banques publiques. Lors d’un conseil d’État présidé la semaine dernière par Xi Jinping, les dirigeants appelaient ainsi à « s’opposer fermement aux monopoles ».
Ces inquiétudes ont été relayées par les médias qui surveillent de près les actions financières d’Alibaba et de son rival Tencent. Le Quotidien du peuple, organe du Parti communiste chinois, écrivait le 24 décembre que l’enquête contre Alibaba « est une mesure importante pour notre pays afin de renforcer la supervision antimonopolistique dans le secteur de l’internet et promouvoir un développement sain à long terme de l’économie numérique ».
Lire aussi > E-COMMERCE : COMMENT ALIBABA IMPOSE NOS GRIFFES DE LUXE EN CHINE
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Jack Ma, le fondateur de la plateforme Alibaba, ne risque pas de passer de bonnes fêtes de fin d’année. Le 24 décembre 2020, les autorités chinoises ont lancé une investigation contre le géant du e-commerce pour « suspicion de pratiques monopolistiques ». Cette annonce a provoqué une baisse de 8% des titres d’Alibaba à la Bourse de Hong-Kong.
Cette enquête, menée par l’Administration d’État pour la régulation des marchés, a fait réagir les analystes du marché. « Il y a manifestement une escalade des efforts coordonnés visant à entraver l’empire de Jack Ma, qui symbolisait les nouvelles entités chinoises trop grosses pour faire faillite » observait ainsi Dong Ximiao, spécialiste de l’Institut de la finance de Zhongguancun, le pendant de la Silicon Valley en Chine.
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Jack Ma, le fondateur de la plateforme Alibaba, ne risque pas de passer de bonnes fêtes de fin d’année. Le 24 décembre 2020, les autorités chinoises ont lancé une investigation contre le géant du e-commerce pour « suspicion de pratiques monopolistiques ». Cette annonce a provoqué une baisse de 8% des titres d’Alibaba à la Bourse de Hong-Kong.
Cette enquête, menée par l’Administration d’État pour la régulation des marchés, a fait réagir les analystes du marché. « Il y a manifestement une escalade des efforts coordonnés visant à entraver l’empire de Jack Ma, qui symbolisait les nouvelles entités chinoises trop grosses pour faire faillite » observait ainsi Dong Ximiao, spécialiste de l’Institut de la finance de Zhongguancun, le pendant de la Silicon Valley en Chine.
En effet, les pouvoirs publics semblent mettre un point d’honneur à contrôler les activités du groupe qui a écopé la semaine dernière d’une amende de 500 000 yuans – soit 62 000 euros – pour ne pas avoir fait état d’une acquisition. Si les autorités n’ont cette fois pas précisé le motif de l’investigation, hormis un mystérieux « accord d’exclusivité », Alibaba a « promis de coopérer activement à l’enquête avec les régulateurs. »
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