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Engagée depuis ses débuts dans la recherche d’alternatives aux matières synthétiques et animales, la créatrice britannique innove une nouvelle fois avec un sequin biodégradable, fruit d’une collaboration avec la start-up Radiant Matter.
Après la toile denim biodégradable et ses sacs où le PVC a été remplacé par un champignon – le Mycélium – la Maison Stella McCartney, à la pointe de la R&D durable, s’attaque au sequin, cet ornement incontournable des défilés comme des soirées mondaines.
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Une matière qui, d’ordinaire, ne brille pas par son écoresponsabilité. Ces minuscules disques scintillants sont trop souvent réalisés à base de films de polyester (Mylar), ou de vinyle (PVC). Autant d’éléments stylistiques qui polluent les océans des siècles durant, sous forme de microplastiques.
Selon une étude Oxfam (2019) citée par la créatrice, “chaque année pour les fêtes, les femmes britanniques achètent 33 millions de vêtements à paillettes, dont 1,7 million finissent à la décharge après seulement 5 utilisations.”
Des biomatériaux naturellement brillants
Devant les défis écologiques, Stella McCartney a pour habitude de ne pas faire cavalier seule. Elle le prouve une nouvelle fois en faisant appel à la start-up Radiant Matter, spécialisée dans la conception d’une bio matière à l’aspect iridescent : le BioSequin ©.
Inspirée par l’ingéniosité de la nature, l’entreprise développe une nouvelle génération de couleurs et de solutions matérielles pour l’économie circulaire. Elle a ainsi mis au point les premières paillettes développées en laboratoire.
Fabriquées à partir de cellulose dérivée du bois – renouvelable et abondante – les paillettes biodégradables développées par Radiant Matter ont l’avantage de présenter des couleurs brillantes, non toxiques, inaltérables et sans pigments. L’aspect éthique n’est pas oublié : l’éclat métallique scintillant est exempt de minéraux, de métaux et de l’exploitation minière qui y est associée.
Une tribune glamour pour moratoire anti-plastique
Porte étendard du développement durable auprès du groupe LVMH, la Maison Stella McCartney a également comme cheval de bataille de rendre glamour des collections écoresponsables. Des qualités souvent présentées comme antinomiques.
Afin de maximiser la portée de son initiative, la créatrice a fait appel à son amie et top model engagée Cara Delevingne, pour poser en couverture du numéro d’avril du Vogue américain.
La mannequin star y porte ici le prototype d’une combinaison moulante en BioSequin © iridescents développés par la start-up Radiant Matter. Le tout sous l’œil affuté de la photographe du tout-Hollywood, Annie Leibovitz. Une tenue réalisée dans les ateliers londoniens de la Maison Stella McCartney et spécialement réalisée pour Cara Delevingne.
De quoi offrir une plus grande visibilité à la bio matière textile de Radiant Matter, dont la co-fondatrice, Elissa Brunato, est lauréate du prix The Arts Foundation Material Innovation 2022.
Fondée après 2021, cette start-up britannique s’est en effet donnée pour mission de réduire la dépendance de l’industrie de la mode et du luxe à l’égard des plastiques, des métaux et des minéraux dérivés du pétrole en tant que ressources matérielles pour les couleurs.
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Photo à la Une : © Annie Leibovitz[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role= »not-logged-in »][vc_column][vc_column_text]
Engagée depuis ses débuts dans la recherche d’alternatives aux matières synthétiques et animales, la créatrice britannique innove une nouvelle fois avec un sequin biodégradable, fruit d’une collaboration avec la start-up Radiant Matter.
Après la toile denim biodégradable et ses sacs où le PVC a été remplacé par un champignon – le Mycélium – la Maison Stella McCartney, à la pointe de la R&D durable, s’attaque au sequin, cet ornement incontournable des défilés comme des soirées mondaines.
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Engagée depuis ses débuts dans la recherche d’alternatives aux matières synthétiques et animales, la créatrice britannique innove une nouvelle fois avec un sequin biodégradable, fruit d’une collaboration avec la start-up Radiant Matter.
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