Les montres de luxe, éléments emblématiques de l’univers James Bond

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Alors que Mourir peut attendre, le 25ème film de la franchise James Bond s’apprête à débarquer dans nos salles, Watchfinder & Co, spécialiste de la montre de luxe d’occasion, propose un retour sur les montres emblématiques portées par les différents interprètes du célèbre agent secret britannique. Un accessoire peut-être moins connu que les gadgets en tout genre, mais non moins remarquable.

 

À chaque James Bond sa montre

 

Six décennies. Six décennies se sont écoulées depuis la première interprétation de l’agent secret britannique par Sean Connery dans James Bond 007 contre Dr. No, en 1962. Déjà à l’époque, l’acteur arborait fièrement au poignet une Rolex qui, selon les rumeurs qui circulent autour de la production du film, appartenait en fait au producteur, Albert R. Broccoli. Le modèle était alors une Rolex Submariner 6538, surnommée « Big Crown » en raison de son imposante couronne de remontage.

 

Sean Connery et sa Rolex Submariner 6538. Crédit : Getty Images

 

Depuis, chaque interprète de James Bond a porté un modèle de montre de luxe qui lui était propre, comme pour marquer d’un petit détail subtil sa marque et son influence sur le rôle. Dans le sillage de Sean Connery, l’acteur Georges Lazenby, qui incarne très brièvement l’agent britannique dans Au service de sa Majesté en 1969, porta quant à lui une 6238 Rolex Chronograph, très prisée dans le milieu du sport automobile de l’époque. Celle qui apparaissait à l’écran était unique en son genre, car redessinée à la demande des producteurs pour intégrer une trotteuse rouge qui faisait également office de boussole secrète pour James Bond.

 

Avec Roger Moore en 1973, les montres de James Bond changent de nature et deviennent de véritables gadgets grâce à la section Q. Dans Vivre et laisser Mourir, la Rolex Submariner 5513 que porte l’agent secret est dotée d’un aimant très puissant et de sa propre scie circulaire. Roger Moore arborera également au poignet une Hamilton Pulsar ou encore une Seiko 0674 LC dans L’Espion qui m’aimait, chacune étant fournie avec sa petite particularité signée Q.

 

Puis les interprètes, et donc les montres, se succèdent à l’écran. En 1987 dans Tuer n’est pas jouer, Timothy Dalton, qui campe alors un James Bond plus sombre et plus fidèle au personnage d’origine, porte une TAG Heuer Professional, avant de revenir à une Rolex 16610 dans Permis de tuer. Pierce Brosman quant à lui porte une Omega Seamaster 300M Quartz Professional 2541.80.00 dans Goldeneye.

 

Depuis 2006, Daniel Craig a porté plusieurs modèles différents, de la Seamaster Diver 300M à l’Omega Seamaster Aqua Terra 150M Master dans Spectre, toujours modifiées par la section Q. En ce qui concerne Mourir peut attendre, les fans pourront repérer trois montres Omega. Bond y porte l’ultralégère Seamaster Diver 300M 007 Edition, le nouvel agent Nomi (Lashana Lynch) porte une Seamaster Aqua Terra de 38 mm avec cadran noir et bracelet NATO assorti, tandis que Moneypenny (interprétée par Naomie Harris) arbore une De Ville Prestige de 27,4 mm avec bracelet en cuir vert sapin. La montre de luxe reste donc un élément indiscutable de la personnalité de l’agent britannique, reflet de l’époque dans laquelle il s’inscrit.

 

La Omega Seamaster 300 Spectre Edition portée par Daniel Craig. Crédit : Watchfinder & Co

 

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Photo à la Une : © Watchfinder & Co [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role= »not-logged-in »][vc_column][vc_column_text]

Alors que Mourir peut attendre, le 25ème film de la franchise James Bond s’apprête à débarquer dans nos salles, Watchfinder & Co, spécialiste de la montre de luxe d’occasion, propose un retour sur les montres emblématiques portées par les différents interprètes du célèbre agent secret britannique. Un accessoire peut-être moins connu que les gadgets en tout genre, mais non moins remarquable.

 

À chaque James Bond sa montre

 

Six décennies. Six décennies se sont écoulées depuis la première interprétation de l’agent secret britannique par Sean Connery dans James Bond 007 contre Dr. No, en 1962. Déjà à l’époque, l’acteur arborait fièrement au poignet une Rolex qui, selon les rumeurs qui circulent autour de la production du film, appartenait en fait au producteur, Albert R. Broccoli. Le modèle était alors une Rolex Submariner 6538, surnommée « Big Crown » en raison de son imposante couronne de remontage.

 

 

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À chaque James Bond sa montre

 

Six décennies. Six décennies se sont écoulées depuis la première interprétation de l’agent secret britannique par Sean Connery dans James Bond 007 contre Dr. No, en 1962. Déjà à l’époque, l’acteur arborait fièrement au poignet une Rolex qui, selon les rumeurs qui circulent autour de la production du film, appartenait en fait au producteur, Albert R. Broccoli. Le modèle était alors une Rolex Submariner 6538, surnommée « Big Crown » en raison de son imposante couronne de remontage.

 

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