La Banque de France double sa prévision de croissance pour 2023

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Plus de demande mondiale, moins d’inflation : deux facteurs qui incitent l’institution bancaire à envisager une hausse du Pib de 0,6% au lieu de 0,3% cette année. La Banque de France ne croit ni à une crise durable liée à la réforme des retraites, ni à une contagion bancaire, après la faillite de la SVB. 

 

La croissance est de retour plus vite que prévu selon la Banque de France.

 

L’institution bancaire a doublé aujourd’hui ses prévisions pour le produit intérieur brut (PIB) de l’Hexagone. Il devrait finalement croître de 0,6%, au lieu des 0,3% initialement envisagés. La Banque de France reste cependant plus prudente que l’OCDE qui a relevé vendredi d’un point sa prévision à 0,7% et que le gouvernement qui mise carrément sur 1% de croissance.

 

La phase de reprise redémarrerait nettement en 2024 », grâce au redécollage de la consommation des ménages, estime encore la Banque de France. Celle-ci s’attend ainsi toujours à un sursaut de croissance de 1,2% en 2024 puis de 1,7% (au lieu de 1,8%) en 2025.

 

Cette année, les meilleures performances annoncées sont liées à la conjonction « d’un peu plus de croissancede la demande mondiale et « d’un peu moins d’inflation », selon Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

 

Inflation alimentaire : un pic mi-2023

 

L’inflation alimentaire, qui a pris le relais de l’inflation énergétique comme moteur de la hausse des prix, devrait atteindre son pic « vers la fin du premier semestre ».

 

Les prix augmenteraient ensuite plus lentement, grâce à « la détente prévue sur le prix des intrants agricoles (…) et les prix internationaux des matières premières agricoles ». Pour autant, la Banque «ne prévoit pas de baisse des prix de l’alimentation à l’horizon 2025”.

 

Parallèlement, la Banque prévoit un regain de consommation des ménages, grâce à une meilleure dynamique du salaire moyen par tête (englobant heures supplémentaires et primes). Celui-ci devrait croître de 6% en 2023, de 4,6% en 2024 et de 3,7% en 2025. Le pouvoir d’achat ne devrait cependant pas progresser dans les mêmes proportions.

 

Sur le front de l’emploi, une amélioration est espérée en 2025, avec une « décrue » du taux de chômage. Mais ce dernier devait en revanche progresser en 2023 et 2024.

 

Rassurante

 

Sur les sujets –réforme des retraites et secousses bancaires– qui ont assombri l’horizon macro-économique- ces dernières semaines, la Banque de France s’est voulue rassurante.

 

D’une part, elle ne croit pas à des conséquences durables sur l’économie des tensions liées à l’opposition à la réforme des retraites.

 

Quant aux deux événements ayant affecté la filière bancaire – fermeture de la Silicon Valley Bank aux Etats-Unis et flottements autour du Credit Suisse-  ils ne « ne concernent pas les banques françaises et européennes », a assuré François Villeroy de Galhau le gouverneur de la Banque de France sur les ondes de France Inter. Des banques françaises qu’il a même qualifiées de “très solides”.

 

Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ? Si le ton de la Banque de France se veut dans l’ensemble rassurant, elle relève malgré tout quelques bémols et incertitudes, soit un « environnement financier » moins porteur, avec des taux de change et d’emprunt moins bien orientés qu’en décembre.

 

Lire aussi >Faillite de la banque SVB : se dirige-t-on vers une nouvelle crise financière ?

Photo à la Une : © Presse [/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role= »not-logged-in »][vc_column][vc_column_text]

Plus de demande mondiale, moins d’inflation : deux facteurs qui incitent l’institution bancaire à envisager une hausse du Pib de 0,6% au lieu de 0,3% cette année. La Banque de France ne croit ni à une crise durable liée à la réforme des retraites, ni à une contagion bancaire, après la faillite de la SVB. 

 

La croissance est de retour plus vite que prévu selon la Banque de France.

 

L’institution bancaire a doublé aujourd’hui ses prévisions pour le produit intérieur brut (PIB) de l’Hexagone. Il devrait finalement croître de 0,6%, au lieu des 0,3% initialement envisagés. La Banque de France reste cependant plus prudente que l’OCDE qui a relevé vendredi d’un point sa prévision à 0,7% et que le gouvernement qui mise carrément sur 1% de croissance.

 

La phase de reprise redémarrerait nettement en 2024 », grâce au redécollage de la consommation des ménages, estime encore la Banque de France. Celle-ci s’attend ainsi toujours à un sursaut de croissance de 1,2% en 2024 puis de 1,7% (au lieu de 1,8%) en 2025.

 

Cette année, les meilleures performances annoncées sont liées à la conjonction « d’un peu plus de croissancede la demande mondiale et « d’un peu moins d’inflation », selon Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

 

Inflation alimentaire : un pic mi-2023

 

L’inflation alimentaire, qui a pris le relais de l’inflation énergétique comme moteur de la hausse des prix, devrait atteindre son pic « vers la fin du premier semestre ».

 

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Plus de demande mondiale, moins d’inflation : deux facteurs qui incitent l’institution bancaire à envisager une hausse du Pib de 0,6% au lieu de 0,3% cette année. La Banque de France ne croit ni à une crise durable liée à la réforme des retraites, ni à une contagion bancaire, après la faillite de la SVB. 

 

La croissance est de retour plus vite que prévu selon la Banque de France.

 

L’institution bancaire a doublé aujourd’hui ses prévisions pour le produit intérieur brut (PIB) de l’Hexagone. Il devrait finalement croître de 0,6%, au lieu des 0,3% initialement envisagés. La Banque de France reste cependant plus prudente que l’OCDE qui a relevé vendredi d’un point sa prévision à 0,7% et que le gouvernement qui mise carrément sur 1% de croissance.

 

La phase de reprise redémarrerait nettement en 2024 », grâce au redécollage de la consommation des ménages, estime encore la Banque de France. Celle-ci s’attend ainsi toujours à un sursaut de croissance de 1,2% en 2024 puis de 1,7% (au lieu de 1,8%) en 2025.

 

Cette année, les meilleures performances annoncées sont liées à la conjonction « d’un peu plus de croissancede la demande mondiale et « d’un peu moins d’inflation », selon Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

 

Inflation alimentaire : un pic mi-2023

 

L’inflation alimentaire, qui a pris le relais de l’inflation énergétique comme moteur de la hausse des prix, devrait atteindre son pic « vers la fin du premier semestre ».

 

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Sophie Michentef
Sophie Michentef
Sophie Michentef a évolué plus de 30 ans dans la presse professionnelle. Pendant une quinzaine d’années, elle a encadré la rédaction France et international du Journal du Textile. Elle met désormais son expertise presse, textile, mode et luxe au service de journaux, organisations professionnelles et entreprises.

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