Le groupe de luxe suisse, spécialiste de l’horlogerie-joaillerie, s’est montré plus résilient pendant l’exercice dernier que LVMH et surtout, que Kering. Portées par la joaillerie, ses ventes ont été en progression presque partout, sauf dans la région Asie Pacifique, sa première destination.
A l’instar d’Hermès, Richemont se montre plus résilient sur le marché bousculé du luxe que le Numéro Un du secteur, LVMH et, surtout, que Kering.
Le groupe suisse spécialiste de l’horlogerie-joaillerie et de la mode, vient ainsi de dévoiler, ce vendredi 16 mai, un exercice décalé 2024-2025, bouclé fin mars, de bon aloi.
Recul de l’Asie Pacifique et de l’Horlogerie
Le chiffre d’affaires du propriétaire (entre autres) des marques Cartier, Buccellati, Chloé, Piaget et Van Cleef & Arpels a ainsi augmenté de 4% (à taux de changes constants comme réels) à 21,4 milliards d’euros malgré une région Asie-Pacifique et une division Horlogerie mal orientées. Sa performance s’avère conforme aux projections du consensus d’analystes de l’agence AWP.
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Photo à la Une : © Cartier