Plamen Roussev, le jeune violoniste bulgare passé à l’Ouest, s’est constitué un « petit monopoly personnel » en France. Il a ouvert les premières franchises Alain Manoukian, Daniel Hechter, Lacoste… Il raconte son histoire dans « Le violon de ma liberté ». Rencontre pétillante et joyeuse dans son appartement parisien.
La fidèle employée de maison de Plamen Roussev nous annonce que « Monsieur aura un peu de retard » , au 4ème étage d’un immeuble bourgeois du 8ème arrondissement à Paris. Nous en profitons pour admirer les œuvres d’art de ce sympathique appartement : des tableaux de Buffet, Delaunay, une sculpture de Modigliani… et un violon amoureux d’un saxophone. Tout ici respire la culture, la gaieté, les souvenirs. C’est l’exact opposé d’une résidence de « nouveau riche » dont la décoration aurait été confiée à un architecte d’intérieur. Plamen Roussev est un amoureux des arts ; il adore chiner chez les antiquaires et il a un goût sûr. Il aime acquérir des lieux d’exception, les transformer en y ajoutant sa touche personnelle. À l’aube de ses 80 ans, c’est son passe-temps favori.
S’échapper à l’Ouest
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Photo à la Une : © Getty Images