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Dans un contexte économique plutôt difficile, les maisons horlogères semblent se recentrer sur les modèles qui ont fait leur succès auparavant. Mais la montre connectée a aussi fait son apparition. Alors, « gadget menaçant », ou produit de luxe ? Décryptage.
Horlogerie, un secteur en plein bouleversement
«Gros blues», c’est ainsi que BFM Business qualifie la période trouble que traverse l’industrie horlogère depuis 2015. Bien que la fédération horlogère suisse ait annoncé quelques brefs et légers retours à la croissance positive des exportations horlogères en 2017 (en mars et mai), après 20 mois consécutifs de baisse, le secteur a subi un net repli.
Les exportations horlogères suisses ont subi une contraction de plus de 10 % en valeur l’an dernier. Le résultat net de Richemont, le numéro deux mondial du luxe, dont la majorité de l’activité repose sur l’horlogerie, a plongé de 46 %, à 1,21 milliard d’euros pour l’exercice décalé 2016/2017 (clos fins mars). Des têtes sont tombées. Philippe Leopold-Metzger, Juan-Carlos Torres, respectivement dirigeants de Piaget et Vacheron Constantin, ont été doucement poussés vers la sortie. D’autres comme Daniel Riedo (Jaeger-LeCoultre) et Fabrizio Cardinali (Alfred Dunhill) ont préféré abdiquer […]
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