Alors qu’en Europe, les Bourses se reprennent avec prudence face au contexte politique, Wall Street ne cède pas non plus à l’euphorie malgré le dernier rapport américain sur l’emploi. Ce dernier fait pourtant état d’une modération des embauches et de l’inflation salariale, rendant plausible une prochaine détente de la politique monétaire…
Après le stress de ces derniers jours, lié aux échéances politiques anglaises et françaises, les bourses européennes avaient retrouvé un certain allant à l’ouverture, ce vendredi 5 juillet.
La publication des chiffres de l’emploi Outre-Atlantique, à 12H30 GMT, de nature à influencer les prochaines décisions de la Réserve fédérale en matière de taux d’intérêt, préoccupait, semblait-il davantage les investisseurs que les élections dans l’Hexagone ou Outre-Manche …
Alors que les dernières projections tablaient en France sur une grande difficulté, voire une impossibilité, du Rassemblement National à obtenir une majorité absolue lors du second tour des législatives, leurs opposants ayant fait barrage par des désistements, les investisseurs ont été dans l’ensemble rassurés. Cela s’est traduit par une hausse en ouverture de 0,17% du Cac40 vers 10H00 vendredi.
Loin des 8.000 points
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