A peine un an et demi après son acquisition, Rolex a décidé de mettre fin à Carl F. Bucherer. Mais si son nouveau propriétaire n’a pas souhaiter prolonger l’activité déficitaire de la vénérable Maison horlogère, créée en 1888, il conserve son important réseau de distribution en propre, soit une cinquantaine de magasins installés en Europe et aux Etats-Unis.
Elle n’aura pas fait long feu dans le giron de Rolex.
A peine un an et demi après la reprise, son nouveau propriétaire a décidé de mettre un point final à Carl F. Bucherer. Et ainsi à l’épopée de l’un des derniers horlogers suisses, né en 1888 à Lucerne et qui avait depuis réussi à rester dans les mains de la famille fondatrice. Jusqu’à son rachat, in fine fatal, en août 2023, par Rolex.
Les salariés et horlogers de la marque ont été informés, et selon la presse, devraient être reclassés dans les autres filiales de Rolex.
Une transition progressive
La transition devrait se faire progressivement. Les 250 points de vente diffusant Carl F. Bucherer, dont 50 magasins Bucherer et Tourneau, remplaceront ainsi petit à petit la marque par celles de son nouveau propriétaire (Rolex, Tudor).
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Photos à la Une : © Bucherer
