Immobilier de montagne : Et maintenant, place aux investissements !

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Comme tous les secteurs, le marché immobilier de la montage s’est vu bouleversé par la pandémie. En effet, la fermeture des remontées mécaniques jusqu’à la mi-février a influé quelque peu le nombre de fréquentations et de transactions.

 

Le marché de l’immobilier de manière plus générale n’a pas autant souffert que les autres marchés, celui-ci a connu une importante dynamique d’achat en centre-ville mais surtout en milieu rural. Une illustration de la volonté des acquéreurs de vivre dans un nouveau cadre de vie.

 

« Le confinement a donné aux gens envie de revoir leur cadre de vie, de changer, d’investir dans des valeurs refuges telle que la pierre. » selon Christian Domas, président de la chambre Fnaim Auvergne.

 

Les maisons secondaires ont également été prises d’assaut. Les Français et les Belges auraient redécouvert l’attractivité de la montagne, hiver comme été, selon les professionnels.

 

C’est pour cela que les prix de vente affichés à la montagne ont dans l’ensemble bien résisté, malgré les confinements et fermetures des remontées mécaniques. Dans la plupart des stations de sports d’hiver, les propriétaires-vendeurs n’ont même pas revu leurs prix de vente à la baisse, et les prix au m² ont même été orientés à la hausse dans 3 stations de ski sur 4.

 

 “Les prix ont continué de grimper comme si le Covid n’était pas passé par là. Et côté transactions, il y a eu un léger ralentissement au final sur toute l’année, mais rien d’alarmant” a expliqué Philippe Chevallier, président de l’agence Century21 qui couvre la vallée de Chamonix.

 

Cependant, quelques stations se démarquent et affichent un repli au niveau de leur prix de vente, c’est le cas notamment dans le domaine des Alpes. En effet, en l’espace d’une année, les prix ont baissé de 12% aux Arcs, et de 10% à Tignes, selon les données de SeLoger.

 

Pour la première station, en Savoie, les prix démontrent un repli important, en moyenne, un logement y coûte 265 395 €, quant au prix moyen au m² aux Arcs il est d’environ 4 737 €. La station de Tignes subit le même phénomène, un logement y coûte, en moyenne, 259 983 €.

 

La tendance s’est propagée à Villeneuve qui a subit une baisse de 9 % sur le même durée, à Abondance avec -4 %, à Morzine avec – 3 %, ainsi qu’ à Chamonix, une des stations les plus prestigieuses et dont le prix du logement a reculé de 2 % : 8 609 euros le mètre carrés et un budget moyen d’acquisition de 528 638 €.

 

C’est donc le moment idéal si l’on souhaite s’offrir un bien immobilier à la montagne, et quoi de mieux que les Alpes? D’autant plus que la concurrence n’est pas vraiment au rendez-vous puisque pour les régions précitées, la tension immobilière, c’est à dire le nombre d’acquéreurs par rapport au nombre d’annonces immobilières disponibles, s’est nettement replié.

 

À Tignes celle-ci a en effet reculé de 50 % sur 1 an, de 44 % à l’Alpe d’Huez, de 42% à Val-Thorens de 36% aux Saisies et de 22% à Flaine.

 

Lire aussi > IMMOBILIER DE LUXE : LE MARCHE PARISIEN RISQUE DE CONNAITRE UNE BAISSE DE SES PRIX

 

Photo à la Une : © Presse[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role= »not-logged-in »][vc_column][vc_column_text]

Comme tous les secteurs, le marché immobilier de la montage s’est vu bouleversé par la pandémie. En effet, la fermeture des remontées mécaniques jusqu’à la mi-février a influé quelque peu le nombre de fréquentations et de transactions.

 

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Comme tous les secteurs, le marché immobilier de la montage s’est vu bouleversé par la pandémie. En effet, la fermeture des remontées mécaniques jusqu’à la mi-février a influé quelque peu le nombre de fréquentations et de transactions.

 

Le marché de l’immobilier de manière plus générale n’a pas autant souffert que les autres marchés, celui-ci a connu une importante dynamique d’achat en centre-ville mais surtout en milieu rural. Une illustration de la volonté des acquéreurs de vivre dans un nouveau cadre de vie.

 

« Le confinement a donné aux gens envie de revoir leur cadre de vie, de changer, d’investir dans des valeurs refuges telle que la pierre. » selon Christian Domas, président de la chambre Fnaim Auvergne.

 

Les maisons secondaires ont également été prises d’assaut. Les Français et les Belges auraient redécouvert l’attractivité de la montagne, hiver comme été, selon les professionnels.

 

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