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La marque de luxe française Courrèges vient de nommer Adrien Da Maia – ancien patron du label parisien Surface to Air – comme son nouveau président-directeur général. Une élection qui apparaît comme un moyen pour la marque de mode emblématique des années 1960 d’apporter des réponses concrètes à la crise ravageuse du Covid-19, et ce même si elle se refuse encore à commenter ses projets futurs.
Fondée en 1961 à Paris par les amants et passionnés de couture André et Coqueline Courrèges, la maison Courrèges, connue pour ses minijupes, ses longues bottes blanches et ses pantalons, a élu à sa tête en mars dernier une figure connue de la mode et du luxe : Adrien Da Maia, qui vient de prendre ses fonctions.
Directeur du Développement puis Directeur Général de la marque de prêt à porter française Surface to Air entre 2010 à 2015 avant sa liquidation judiciaire en 2016, Adrien Da Maia a ensuite été jusqu’en 2019 en charge des marchés américains pour le spécialiste français de l’ingénierie acoustique Devialet, startup la plus primée au monde pour ses innovations dans le son.
Diplômé d’HEC Paris et ancien stagiaire à LVMH, Adrien Da Maia a donc tout du parfait CEO : un spécialiste du marché financier et commercial, un fin connaisseur de l’industrie de la mode mais aussi un savant en ingénierie technologique.
Mais à l’heure où le coronavirus sévit dans le monde entier, fragilisant profondément l’industrie de la mode et du luxe, les défis sont nombreux pour le label français Courrèges et le seront encore plus pour le jeune français Adrien Da Maia.
Nouveau président-directeur général de la Maison, il succède ainsi à Christina Ahlers, ancienne directrice de l’enseigne de luxe Acne Studios, qui a quitté son poste chez Courrèges peu après l’annonce officielle du départ de la directrice de création Yolanda Zobel, qui avait été engagée en février 2018.
Cette dernière avait eu pour mission de donner un nouveau souffle créatif à la marque au bord de la faillite. En effet, peu de temps auparavant, en septembre 2017, Artemis, holding de la famille Pinault, avait pris le contrôle à 100% de la maison Courrèges, tandis que la société affichait pour l’année 2017 une perte nette de 18,4 millions d’euros.
Reste maintenant à connaître le nom du prochain directeur artistique qui succédera à Christina Ahlers.
De son côté, Artemis a refusé de commenter la nomination d’Adrien Da Maia et se concentre actuellement sur la gestion des affaires courantes en pleine crise du Covid-19.
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Photo à la Une : © Courrèges[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row njt-role= »not-logged-in »][vc_column][vc_column_text]
La marque de luxe française Courrèges vient de nommer Adrien Da Maia – ancien patron du label parisien Surface to Air – comme son nouveau président-directeur général. Une élection qui apparaît comme un moyen pour la marque de mode emblématique des années 1960 d’apporter des réponses concrètes à la crise ravageuse du Covid-19, et ce même si elle se refuse encore à commenter ses projets futurs.
Fondée en 1961 à Paris par les amants et passionnés de couture André et Coqueline Courrèges, la maison Courrèges, connue pour ses minijupes, ses longues bottes blanches et ses pantalons, a élu à sa tête en mars dernier une figure connue de la mode et du luxe : Adrien Da Maia, qui vient de prendre ses fonctions.[/vc_column_text][vc_cta h2= »Cet article est réservé aux abonnés. » h2_font_container= »font_size:16″ h2_use_theme_fonts= »yes » h4= »Abonnez vous dès maintenant ! » h4_font_container= »font_size:32|line_height:bas » h4_use_theme_fonts= »yes » txt_align= »center » color= »black » add_button= »right » btn_title= »JE M’ABONNE ! » btn_color= »danger » btn_size= »lg » btn_align= »center » use_custom_fonts_h2= »true » use_custom_fonts_h4= »true » btn_button_block= »true » btn_custom_onclick= »true » btn_link= »url:https%3A%2F%2Fluxus-plus.com%2Fabonnements-et-newsletter-2%2F||| »]Accédez en illimité à tous les articles et vivez une expérience de lecture inédite, contenus en avant première, newsletter exclusives…
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La marque de luxe française Courrèges vient de nommer Adrien Da Maia – ancien patron du label parisien Surface to Air – comme son nouveau président-directeur général. Une élection qui apparaît comme un moyen pour la marque de mode emblématique des années 1960 d’apporter des réponses concrètes à la crise ravageuse du Covid-19, et ce même si elle se refuse encore à commenter ses projets futurs.
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